révolutions, d'ébats amoureux, éperdus, douloureux

1982, fiction, 70 min

UN FILM D'AMOUR ET DE MUTILATION, ENTRE AUTRES CHOSES

Tel un album-photo longtemps oublié dans une maison abandonnée, paroles et images rappellent doucement, comme par osmose, les élans d’espoir et de détresse de trois femmes face à un monde en désintégration.  Rappellent aussi le silence de celle qui a dit « Écoute », puis qui s’est tue, n’a plus jamais rien dit.

... un premier long métrage surprenant !

Toronto International Film Festival

... l'étonnante grâce, l'économie et la maîtrise de révolutions a fait sensation parmi les cinéastes au Toronto International Film Festival.

National Film Theatre

L'occasion valait le déplacement...  Il n'est pas souvent donné, en effet, de voir un film qu'on peut reconstruire selon sa propre subjectivité.

LIAISON no.27

... et le plus surprenant à cause de sa délicatesse, il y a révolutions de Jean Marc Larivière, très certainement le premier long métrage de langue française produit en Ontario.

Toronto Sun

Son scénario le rattache à des oeuvres comme Three Women de Robert Altman, Willow Springs de Werner Shroeter et Island de Paul Cox.  Mais son intimisme, sa pureté visuelle et sa prédilection pour le calme, le silence et la vie quotidienne rappellent davantage Marguerite Duras et Chantal Akerman.

Cinematheque Ontario

AFFICHE
AFFICHE
révolutions photo
GÉNÉRIQUE
ENTREVUE
DOSSIER DE PRESSE
SCÉNARIMAGE